| | Auteur | Message |
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Alccieo
| Sujet: "Chansons du front" 25.08.14 23:51 | |
| Le marin Tirassien :
J'ai bien passer cinq à six ans, dans cette belle ville Tirasienne J'ai bien passer cinq à six ans, dans cette belle ville Tirassienne,
J'y étais heureux comme un Roy, avec Marie auprès de moi J'y étais heureux comme un Roy, avec m'amie auprès de moi,
La belle se mit à genoux, elle demanda à sa mère La belle se mit à genoux, elle demanda à sa mère, Mère il me vient un aimant, je veux me marier promptement Chère mère il me vient un aimant, je veux l'épouser promptement,
Ma fille a quoi penses donc-tu, ce n'est rien qu'un soldat de guerre Ma fille a quoi penses donc-tu, il n’eut fait d'exploit naguère, Nous n'avons que toi comme enfant, tu te marieras richement Nous n'avons que toi comme enfant, tu te marieras richement,
Que je me maries richement, cela m'est bien égal ma mère Que je me maries richement, cela m'est bien égal ma mère, Celui que j'aime d'âme en corps, c'est ce soldat brave artilleur Car celui que j'aime dans mon cœur, c'est ce soldat brave tirailleur,
~Musique~
Hélas hélas on m'a écrit, une bien triste nouvelle Hélas hélas on m'a écrit, une bien triste nouvelle, Partout la guerre est déclarée, les artilleurs doivent s'en aller Partout la guerre est déclarée, les Tirassiens doivent s'en aller,
En Kalimdor sont arrivés, trois coups de canons ils ont tirer En Kalimdor sont arrivés, trois coups de canons ils ont tirer,
Oh artilleur ô mon ami, as-tu le regret de partir? Oh artilleur ô mon ami, as-tu le regret de mourir?
Le seul regret que j'ai dans ma vie, c'est de partir sans voir ma mie Le seul soucis que j'ai dans mon coeur, c'est de mourir sans voir ma ville,
J'y étais heureux comme un Roy, avec Marie auprès de moi J'y étais heureux comme un Roy, avec ma mie auprès de moi,
Brave artilleur ô mon ami, nulle guerre ne saurait m'altérer Brave tirailleur ô mon ami, nulle guerre ne saurait me faire douter, Croyez-moi ô mon amour, je vous attendrais nuit et jour, Croyez-moi ô mon amour, je vous attendrais nuit et jours,
Croyez-moi ô mon âme, votre amour renforcera ma lame Croyez-moi ô ma Dame, votre amour renforcera ma lame.N'hésitez pas à me faire part de critiques, ou bien de me donner des idées pour compléter la chanson, l'améliorer, ou en faire d'autres! Merci d'avance! |
| | | Alccieo
| Sujet: Re: "Chansons du front" 27.08.14 10:30 | |
| La complainte du brigand. Nous étions vingts ou trentes, Brigands dans une bande, Tous habillés de blanc, A la mode des marchands,
La première volerie, Que je fît dans ma vie, C'est d'avoir goupiller, La bourse d'un administré,
J'entrais dedans sa chambre, Lumière qu'elle était grande, J'y trouvais milles pièces d'or, Et une énorme claymore,
J'entrais dedans une autre, Lumière qu'elle était haute, De robes et de manteaux, J'en chargeais trois chariots,
Je les portaient pour vendre, Au quartier commerçant, J'les vendit bon marché, Ils m'avaient rien coûté,
Ces messieurs de la Garde, Et tous ces hommes en robe, Et leurs maudits carnets, M'eurent bientôt jugé,
Ils m'ont juger à pendre, Que c'est dur à entendre, A pendre à étrangler, Sur la place du Marché,
Monté sur la potence, Je regardais ma ville, Je vis mes compagnons, A l'ombre d'un buisson,
Compagnons de misère, Allez dire à ma mère, Qu'elle ne m'reverra plus, J'suis un enfant perdu,
La première volerie, Que je fît dans ma vie, C'est d'avoir goupiller, La bourse d'un administré. |
| | | Alccieo
| Sujet: Re: "Chansons du front" 02.09.14 20:04 | |
| Le brave Pelot: Ma très chère mère je vous écris, Que je suis rentré dans cette ville, Que l'on me nomma déjà Caporal, Et serais bientôt Général.
A la bataille, nous combattions, Les ennemis de la nation, Et tous ceux qui se présentiont, A grand coups de sabres les émondions.
Le bon roi Wrynn m'a fait appeller, C'est Cent de Quartier qu'il a nommé, Mais "sans quartier", c'est point mon nom, Osais-je a ce roi qui fût très bon, J'lui dit "j'm'appelle Pelot d'Elwynn".
J'y aquiris un beaux ruban, Et je n'sais quoi au bout d'argent, Il dit mets ça sur ton habit, Et combats toujours l'ennemi.
Faut qu'ce soit quelque chose de précieux, Pour que les autres m'appellent monsieur, Et font appel au barde Chabiau, Qu'ils content les histoires du pauvre Pelot.
Ma mère si j'meurs en combattant, J'vous enverrais ce beau ruban, Et vous l'mettrez à votre fusiau, En souvenir du pauvre Pelot.
Dites à mon père, à mon cousin, A mes amis que je vais bien, Je suis leur humble serviteur, Pelot qui vous embrasse le cur. |
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| Sujet: Re: "Chansons du front" | |
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